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 UNE AUTRE APPROCHE RESOLUMENT INNOVANTE

LE PREVENTING BURNOUT TEST & ICT LOAD MESURES © JOB CHRONIC STRESS EARLY WARNING SYSTEM

Le PBT est un outil de diagnostic informatisé de prévention du burn out et de la saturation cognitive, sur base d’une analyse globale qui donne des indications de risque par types d’épuisement, par indicateurs (évaluation et mesure des sources de stress chronique) et par catégorie de risque psycho-sociaux.

Cette analyse s’appuie sur un questionnaire qui a pour but d’évaluer le « risque de burnout » mais surtout de permettre de définir les sources de stress générant ce risque pour les travailler et réobtenir des zones de bien-être, de bonheur, de santé mentale, intellectuelle et physique.

La composante « Nouvelles technologies de l’Information et de la Communication » est une composante importante de stress répété pouvant mener à un type d’épuisement plus particulier.

Cet indicateur ICT est approfondi et divisé, tout comme les autres indicateurs, en « sous-indicateurs » permettant d’émettre rapidement les actions à entreprendre pour rester en bonne santé au travail et lutter contre l’absentéisme.

C’est le seul test qui fait le lien vie privée / vie professionnelle via les indicateurs “Transports,  et mesure de la charge cognitive ICT”, …

 NOS CONVICTIONS

Pourquoi faut-il travailler contre les stress chroniques ?

                • Pour préserver sa santé physique, émotionnelle et cognitive
                • Pour garder sa motivation et son énergie à long terme
                • Pour éviter le turn-over dans les équipes 
                • Pour éviter le report de la charge de travail sur les collègues
                • Pour rester efficace dans ses tâches
                • Pour éviter l’arrêt de travail prolongé et la prise de médicaments comme des antidépresseurs

 

 HISTORIQUE

Le Preventing Burnout Test©1 est né durant l’été 2012 avec la nouvelle appellation “Preventing Burnout”. En clin d’oeil au logiciel à workflow SAP utilisant le terme : “Early Warning System”,  il a été enregistré  en 2012 par Régine Sponar et donc arrimé au terme : Stress Early warning system. Soit un Système d’Alerte Précoce pour le Stress. Pour ensuite devenir un véritable outil de système d’alerte précoce pour les stress chroniques.

Ce terme de Preventing est une faute de syntaxe en anglais délibérément voulue. Comme ce terme est à présent repris à toutes les sauces, je voudrais spécifier le fondement de sa création. Ce terme de” Preventing” renvoie à une action de prévention globale et à certaines contraintes spécifiques. Il s’agit d’intervenir avant le burnout, avant l’installation des stress chroniques. L’action du preventing s’effectue quand la personne est encore au travail ou lors d’un premier congé de maladie. D’autre part, l’appellation “preventing” renvoie à un travail de fond sur la responsabilité individuelle, de l’entreprise, de l’institution  et/ou du politique, …là ou chaqun de ces  partenaires essaie de travailler pour améliorer une société durable et éthique. Il est donc exlu de faire du “preventing” sans travailler avec ces intervenants et les causes qui amènent au syndrome ou à la maladie. C’est donc un non-sens de faire du “preventing” au sein d’un hôpital ou d’une clinique ou par définition l”on soigne les patients de manière curative. Dans le cadre du “preventing”, même si certains sont à risques on ne considère pas les employés comme étant en maladie. Chacun travaille sa spécificité. Dans l’action de “Preventing” on recherche le bien-être, les compétences tout en restant en parfaite santé et dans un cadre du développement durable.

Comme on le conseille à beaucoup d’entre nous, je cherchais à redonner un sens à ma carrière tout en me reconnectant à mes plaisirs et passions de jeunesse, oubliés par une vie de travail trop speedée sans plus de ponctuation de temps vécus dans l’instant présent.

Alors que l’entreprise avait toujours été pour moi un lieu de ressource comme elle doit l’être, le seul impératif de cette carrière en dents de scie était devenu au final un challenge pour savoir comment “tenir” jusqu’au bout de la semaine sans m’effondrer physiquement sous le poids de trop de trajets épuisants dans les embouteillages bruxellois et milanais avec ce solide mal de dos associé (nuque et lombaires) qui s’amplifiait mois après mois jusqu’à devenir insoutenable. Trop de mails à trier, trop de tâches en software à WF qui chaque jour s’offrait un, voire plusieurs, reboots, trop de conflits, trop de bruit avec cette musique devenue insupportable lors de sports trop cardio, des nuits d’insomnies à l’endormissement et de réveil vers 5h, trop de et plus assez de… temps… pour réfléchir, créer, émettre des hypothèses, vivre et rire.

Cette expérience dans le monde du multitâche ICT du prendre fin lorsqu’ après avoir effectué un trajet en voiture Bruxelles-Budapest-Zagreb, allongée sur 5 couettes servant d’amortisseurs entre l’avant et l’arrière de la voiture, tellement la douleur ostéopathique des chocs était insupportable et douloureuse, à bout, un ami et son ostéopathe qui me voyait débarquer pliée en deux avec effarement me dirent : « ça suffit, c’est fini ». Quelle délivrance… Quelques années plus tard : bonne nouvelle : tout se récupère; la résilience est d’origine “physique”.

Oui il existe des temps dans une journée avec un matin où l’on peut prendre son petit déjeuner de façon agréable, un midi, une après-midi, un avant soirée et une soirée.

Des plaisirs de lecture, de compréhension de phénomènes et de longues périodes calmes d’apprentissage sans trop de soucis matériels à gérer – (période insouciante et non contraignante du retour pas forcément voulu à l’appartement de l’étudiant) – furent mis en lien avec le plaisir de l’étude, de la lecture ; celle qui apprend tout en structurant la pensée pour la restituer. L’étape suivante fut de se retrouver sans aucun but précis dans la bibliothèque de psychologie de l’ULB à Bruxelles, à consulter les sujets spécialisés de revues scientifiques qui invariablement mentionnaient le nom du professeur J. Grégoire, professeur à l’UCL. Je me suis alors connectée à mon parrain Paul Naster, professeur Assyriologue – (Mésopotamie) et numismate de la KUL et à mon oncle, Carlo Evrard professeur de botanique à l’UCL Lovanium, qui m’avait baptisée en fonction de leurs intérêts scientifiques l’un Chi-chine et l’autre, Rézine. Comment allais-je baptiser mon fils et mes neveux ? Bien-être vs Stress chroniques!  Mon intérêt s’est focalisé sur le bien-être et les sujets relatifs aux stress chroniques mais aussi sur l’importance de l’ICT et des technostress ICT avec leur impact sur la vie privée.

C’est une controverse vitale en mai 2003 sur la pose d’un diagnostic médical en neurologie basé sur des IRMf (non scientifiques) qui est à l’origine de mes divers épuisements au travail, conjuguée à une réflexion intéressante avec une équipe de neurologues autrichiens spécialistes de ce diagnostic qui me donnèrent raison dans mon analyse détaillée des multiples erreurs d’un diagnostic de sclérose en plaques posé à la va vite de manière non professionnelle  qui me conseilla dès 2003 de m’intéresser à la problématique du « stress ». Ce qui est chose faite et toujours en cours.

Auparavant, en 1997, une position en tant que psychologue aux côtés d’Alain Goudsmet et Nicolas de Bourgnechkt, ancien patron d’une société pharma (ayant effectué un virage de carrière à 365 degrés) qui avaient tous deux embrassé les théories de « Mentally Tough » utilisées pour les sportifs de niveau international (Pete Sampras et ensuite Justine Henin), m’avait ouvert les yeux sur l’importance de la qualité de l’alimentation chez les sportifs et sur la méthodologie de la gestion de leurs objectifs.  

Cette controverse toujours vitale à l’heure actuelle, me conforte encore plus dans ma détermination à travailler la prévention du burnout qui in fine devient prioritairement celle de la prévention des stress chroniques dès les tous premiers symptômes repérés chez l’employé/indépendant. Toute forme d’épuisement au travail ayant un impact sur la vie privée et vice versa. Il s’agit aussi de ne pas confondre “stress chroniques” avec  motivations et compétences lorsqu’on souhaite atteindre ses objectifs.

La rédaction d’un test sur la prévention du burnout s’est alors imposée de manière assez fluide. 8 indicateurs de stress chroniques furent identifiés et ensuite des consultation qualitatives (1H30) sur des employés et indépendants furent installées.

Diapositive1Avec comme objectif : comment ramener la zone de bien être en fonction de l’état de ces indicateurs. C’est durant ces consultations que deux évidences se sont révélées ; un risque de burnout n’est pas un risque de dépression (à mettre en lien avec la définition d’Herbert Freudenberger) et un risque de burnout n’est pas un risque d’épuisement cognitif lié à l’utilisation des nouvelles technologies (à mettre en lien avec la définition de l’origine de la fatigue dans le Burnout de Christina Maslash et Michael Leiter (EXH). EXH (exhaustion) étant un des 3 sigle utilisé dans les études scientifique sur le burnout.   En prévention, j’ai porté l’ attention dans mon étude empirique sur les différents types d’EXH émotionnels et physiques et intégré un EXH cognitif lié aux nouvelles technologies de l’Information et de la Communication, à côté d’un EXH cognitif simple. Lorsque le second sigle des études sur le burnout : EFF est étudié dans le cadre d’une prévention, la question a été de savoir si le sentiment d’inefficacité est pertinent dans l’analyse ? En prévention du burnout, cad quand l’employé(e) est toujours au travail, le sentiment de l’efficacité et de la compétence au travail est mesuré  important, voir très important. Donc il est essentiel lors de la prise en charge de distinguer le burnout du risque de burnout. Idem pour le sentiment de dépersonalisation, troisième critère de C Maslach, que l’on retrouve dans certains secteurs et environement spécifique de travail. 

D’avoir vécu et travaillé trois ans comme formatrice pour l’APEFE au soleil des Seychelles ouvre les yeux sur le concept de la dépression. La vie est dehors, le lien à la nature (air-terre-mer) est permanent, les gens se parlent, le rire est partout et bien ancré dans le corps comme la respiration. On rit comme on respire, on sourit. Il n’y avait pas de personnes dépressives, pas de psychologue et pas de psychiatre. Alors comment se résolvent les stress chroniques qui eux semblent bien universels ? Dans l’addiction (alcool). Mais quid de la dépression ? Le deuil se partage en communauté dans les larmes. Aucun travailleur n’était sous antidépresseurs. Les sucreries raffinées n’étaient pas dans l’alimentation qui provenait directement de l’arbre, de la mer et du sol directement dans l’assiette, sauf par exemple  le riz et le concentré de tomates… Ces sucreries ont été importées d’afrique du sud au début des années 90 en même temps que les premières caries chez les jeunes enfants. Pas de fromages, ni yaourts ni même de lait. Pas de sacs ni de bouteilles en plastique. Il n’y avait pas non plus  de maladies auto-immunes chroniques chez les jeunes de type Crohn,  Sclérose en plaques et  diabète de type 2. Le mot “cancer” ne faisait pas partie du vocabulaire, ni l’asthme. Il y avait des problèmes cardiaques, orl à cause des particules de corail dans l’eau, … mais pas de problème de perte d’immunité.  

L’antidépresseur est-il devenu le reflet d’une population urbaine isolée, confinée dans des logements trop étroits, découpés en parcelles rentables,  perclus d’ondes de basses fréquences, sans orientation soleil, sans contact avec la nature, aux charges toujours plus chères, aux prises avec une alimentation “rondupisée”, trop sucrée, trop salée, trop grasse et des rues polluées par ce diesel de véhicules toujours toléré ? Le bac à légumes balcon sera-t-il le remède? Et avec humour on peut se demander s’il résistera aux V/m de la téléphonie mobile et aux particules fines du diesel ? L’ impact sur la santé mentale et physique des habitants de quartiers fermés aux voitures à Bruxelles sera intéressant mais assez prévisible.  Les centres historiques des villes italiennes sont dynamiques, “humanisés” et envahis de cyclistes et de marcheurs qui se saluent, utilisant ces sports dont on connait les bienfaits sur la santé. A Parme, les commerces sont petits mais si agréables à regarder et à dimension humaine. La ville n’écrase pas l’homme. L’architecture le porte et le transcende vers sa créativité et une forme agréable de collectivité. 

Pourquoi  faire sous notre latitude de la dépression une maladie chronique ? Pourquoi ne pas apprendre à apprivoiser ce spleen qui s’installe à l’automne de novembre à mars quand les journées raccourcissent ? L’expérience sur le terrain prouve qu’un risque de burnout n’est pas un risque de dépression sauf dans les cas très spécifiques de manipulation où un employé est poussé à bout, isolé et empêché de faire son travail. Mais dans ce cas-là encore il s’agit d’intervenir rapidement et de travailler le système d’application des micro-négociations pour protéger le travailleur au plus tôt. 

L’UCL accepta le dépôt d’un sujet de thèse de doctorat sur le thème : “L’impact des nouvelles technologies ICT sur le type de fatigue” et le professeur Jacques Grégoire accepta in extremis (« vous serez la dernière dont je superviserai le doctorat ») d’en être le promoteur avec son premier conseil utile quand on a quitté le milieu académique depuis longtemps : “s’investir dans certaines revues scientifiques et sur les articles de pointe plutôt que dans les livres” et son second : l’achat de l’APA.

Ensuite, plusieurs revues de littérature sur le burnout, sur le stress et sur les technostress furent passés au peigne fin. Et un trésor fut découvert : un petit graphe oublié d’Hans Selye sur l’épuisement accéléré du au cumul des stress chroniques, conforta la structure initiale de 2012 en indicateurs de mesure des stress chroniques du Preventing Burnout Test © qui devient un des moteurs du software.

Suite au conseil du Prof. C. Lejeune de l’ULG (formation doctorale sur les méthodes d’analyse  qualitatives et quantitatives) et à son jeu de piste (« disponible à la bibliothèque des sciences humaines de l’ULB (4niv 300.1 Poup »)  le livre d’ A. Lapperrière, 1997, qui dans “La théorisation ancrée» explique : la « Grounded Theory » de Corbin et Strauss fut une solide base pour d’une part conceptualiser l’expérience qualitative de centaines d’heures d’entretiens recueillis sur le terrain sur le thème de la prévention du burnout mais aussi surtout approfondir une hypothèse pendant l’entretien : de quelle type de fatigue parle-t-on? Peux t-on identifier et mesurer une fatigue cognitive spécifique liée à l’indicateur des stress chroniques répertoriés dans l’ICT ? Et ensuite une seconde question a été approfondie : quelle est la psychogénèse du burnout ? Et ainsi de suite.  Cette lecture sur la GT à également permis de bien comprendre la structure de la thèse de doctorat sur les e-mails et burnout de Camargo.

L’utilisation des échelles et des modes des réponses pour l’analyse des questions fut une autre longue réflexion sur la méthodologie. Par exemple, dès juin 2012 dans le PBT©1, le choix de l’échelle utilisée dans les perceptions de l’employé/indépendant relatives aux questions des stress chroniques de l’employé mesuré dans l’indicateur TRANSPORTS nationaux réguliers DOMICILE-TRAVAIL s’est focalisé sur le choix d’une échelle de mesure de gradation dans la “contrainte” plutôt que d’une gradation dans la pénibilité. Nous avons séparés la mesure et les calculs des TRAJETS REGULIERS au quotidien des trajets IRREGULIERS en semaine (voir explication de cette distinction dans recherche scientifique).

Les faits se mesurant en distance kilométrique, temps mesuré passé dans les transports, nombre de modes de transports, etc. Les 2 ingénieurs de l’équipe ont par la suite aidé à positionner et à rationnaliser l’ensemble des échelles de mesures.

Le personnel à l’écoute de la bibliothèque de psychologie à Louvain-la-Neuve, dont Céline Verheu et Anne Spoiden devient alors un relais important.  

La société Galilei de Randstad via Jean Philippe Mulders et Véronique Wertz, confrontée à beaucoup de cas d’employés « effondrés » liés à des restructurations s’intéressa au Preventing Burnout Test1 – Job Stress early Warning System,  dans le but d’apporter un appui à ces employés et une vingtaine d’ experts furent formés par l’auteure Régine Sponar pour la passation en expérience pilote pour des employés de sociétés clientes de Randstad Belgique. Ces expert(e)s, psychologues et coachs sont chacun(e) des spécialistes du coaching de carrière.

 Un tout premier article dans les médias en Belgique sur la prévention du burnout et le Preventing Burnout Test©  fut rédigé par Solange Berger dans la Libre Entreprise du 24 août 2013 et ensuite un article de Christiane Thiry dans le Psycho Magazines Belgique d’octobre 2013 vint exposer plus en détail le développement de cet outil.  Un article de Magali Henrard du Soir – Références Web publia notre long travail sur le concept de l’épuisement lié aux e-mails basé entre-autre sur la thèse de doctorat de Camargo qui a travaillé avec la méthode de la théorie ancrée (Grounded theory) . Ensuite, les journalistes W.Burton et JF. Lauwens mirent en ligne, sur ce même site web du Soir, un  article récapitulatif sur la saturation cognitive liée à l’usage des outils ICT et la différence de ce type d’épuisement avec le burnout.

Vinrent alors en consultation individuelle, des ingénieurs, des journalistes, des architectes, des graphistes, des assistantes de direction, des professeurs, des directeurs d’écoles, des chefs d’entreprises, des médecins, des médecins spécialisés, des éditorialistes, des juristes, chef d’administration, des “contracts and procurements officers”, des travailleurs de nuit, des responsables d’appels d’offre, des infirmières, des marketing et sales managers, des responsables de chantier, des travailleurs sociaux, des chercheurs et même le seul qui ait parlé du concept de « travail solidaire » : un employé du travail adapté. 

Tous ces travailleurs engagés, intègres par rapport à leur entreprise partagent à un moment de leur vie le même souci, celui de se sentir épuisé au travail, de se réveiller fatigués et de flirter pendant une période assez longue avec la ligne de l’effondrement physique [Voir ci-contre]. Leur moyenne d’heures de travail prestées est de 47 heures par semaine  et l’identification des stress chroniques mesurés n’est pas forcément ce temps de travail.

Les premiers résultats sont très encourageants, les employés qui ont passés les 4 consultations d’1H30 que compte le Preventing Burnout Test sont toujours au travail et s’estiment en forme. Certains ont même gravi un échelon supplémentaire vers un travail qui leur plaît davantage. D’autres se sont tout simplement maintenus à leur place sans plus se sentir menacé. Tous ont à nouveau la perception du travail « bien fait » dans les compétences qui sont les leurs. Certains plus âgés, préparent un shift de carrière vers une activité plus artisanale qui leur convient ou se consacre à des activités de groupe. D’autres, plus jeunes, quittent des entreprises internationales pour se retrouver dans des équipes plus petites ou démarrent à leur tour une start-up créative avec des objectifs de développement durable.

Le bien-être prime sur le fait de rester à tout prix dans un lieu de travail qui ne convient pas. Mais identifier et résoudre les causes des stress chroniques permet de se réapproprier un travail que l’on apprécie.

Tous ces travailleurs ont recommencé un sport d’endurance à leur rythme (Indicateur Sport). Beaucoup d’employés se sentent déjà tout à fait biens après trois entretiens et c’est d’un commun accord que la prévention est estimée terminée.

Grâce à l’œil avisé de Florence Hoton, et en collaboration avec Marc Buckens qui a travaillé en tant que manager dans une multinationale et qui a été confronté à des collègues ayant vécu des burn-out, un projet de start-up First Spin Off UCL fut déposé en Janvier 2014. Il suscita l’intérêt de la DG Recherche 6, de la Région Wallonne et du LTTO. L’objectif est de partager avec des entreprises et des formateurs les conclusions scientifiques et l’expérience positive de plusieurs années de prise en charge.

Au cœur de cette First Spin Off et startup, une plateforme IT PBO : le Preventing Burnout Test©2 développée par l’équipe de B12 Consulting. Elle a été créée afin de mesurer 8 indicateurs de stress chroniques dont la mesure  de la charge et de la qualité du travail, évaluation du relationnel et du pouvoir décisionnel, mesure de la charge cognitive liée à l’ICT, en plusieurs langues en fonction de critères démographiques. La prise en charge s’effectuant sur 3 générations ayant chacune leurs particularités au niveau de la fatigue. Il s’agit de mesurer des faits et des perceptions pour chaque type d’épuisement afin de les prévenir. L’indicateur de bien-être est également mesuré. 

Roald Sieberath et Michel Coenraets, choisi pour sa motivation à créer de l’emploi passé 75 ans, furent les 2 entrepreneurs à avoir, malgré leur charge de travail importante, décroché leur téléphone entre Noël et le Nouvel An 2014 et accepté le parrainage de notre future first spin off.

Marc Buckens, s’investi pour les graphiques et l’ordre dans les indicateurs et le professeur François Fouss, expert en analyse de données, a rejoint l’équipe en avril 2015 afin d’optimiser l’identification et la mesure des risques et de minimiser le temps de la passation du PBT©2 par des systèmes de questions à tiroirs. Geneviève Depresseux fut un coach de premier ordre pour encadrer la rédaction du premier poster sur la fatigue cognitive ICT.

Tout ce travail minutieux de consultations individuelles avec collecte de données a permis de créer des recommandations vers les différentes structures organisationnelles.

Plusieurs applications sont nées de cette prévention : de la prévention de type “Premium” pour certaines fonctions dans l’entreprise et l’institution, soumises à des stress chroniques importants à une application préventive de type “Soft”, comme la mise en place d’une prise en charge par des stretchings physico-cognitifs en équipe.

Celle-ci a été utilisée avec beaucoup de plaisir dans une équipe de travail jeune et soudée de journalistes TV – 7 à la Une.

Diapositive01

Fruits de ce travail minutieux, deux scans organisationnels se sont développés vers les entreprises et les institutions. 

Un « espace vide » dans son CV peut être le signe d’une réflexion, d’une sortie de tête du guidon. Il peut être le signe que l’employé s’est recentré sur ses aspirations, sur l’”artisan du métier” qu’il souhaite (re)devenir,  sur la place qu’il s’octroie dans la société tout en donnant un sens à sa vie dans le cadre d’un développement durable. Chaque travailleur a besoin de reconnaissance, chaque métier est utile.

Notre but est de promouvoir la qualité du travail dans un cadre de vie agréable pour tous.

Le PBT en 2014 a été  travaillé pendant deux ans (de 2014 à 2016) pour devenir un software pour les entreprises : le software a la fonctionnalité de rendre le test accessible à un nombre infini d’employés, permettant une analyse globale des stress chroniques dans l’entreprise de manière anonyme  et pour la consultation individuelle dans un projet spin off pour un fonds de 191.000 euros.   Le promoteur étant Jacques Gregoire et la responsable de la spin off et du Test : Régine Sponar (voir lien DG6).  C’est la région wallonne qui a occtroyé les subsides à l’UCL. Fin 2016, PBT2 a bénéficié sous la supervision de R .Sponar d’un Proof of Concept (PBT3), ce montant POC de 30.000 euros a permi de créer un rapport individualisé permettant d’apporter des recommendations utiles pour un retour en zone de bien-être et ce, pour chaque test créé dans le software PBT.

La spin off et les investisseurs

La présentation du pitch pour la Spin Off  PBT2. Rencontre intéressantre BEWAN-Régine Sponar

A partir d’octobre 2016, les droits du PBT1,2 et 3  ont été racheté par la société BrightLink SA (PBT4) qui  développe l’outil  tant au niveau national qu’international. La société BrightLink gère à présent tous les aspects du PBT. Brightlink est joignable au  www.preventingburnout.com. Psychologue Clinicien utilise le Test en consultation individuelle selon un accord établi avec BrighLink (un seul practicien). Psychologue clinicien développe les prises en charge orientées vers la suppression des stress chroniques et des technostress pour conserver sa santé mentale tant dans sa vie privée que professionnelle.

Merci de nous faire confiance.

 

Régine Sponar 2017/2018  Voir CV